À la rencontre d’Ellahnoé,
femme-médecine
Mon histoire
Qui est Ellahnoé ?
Je suis née Noémie et mon nom de femme-médecine est Ellahnoé.
Ce nom signe la femme que je suis aujourd’hui dans ma dimension dédiée aux soins. 25 années consacrées au service de l’humain dans l’univers hospitalier m’ont appris la nature du lien et la beauté de la différence.
Accueillir, écouter, être médiatrice, offrir une qualité de présence…
Autant d’expériences qui ont semé les graines de ma pratique actuelle.
Une voie spirituelle où le soin et le lien ne font qu’un,
dans une approche holistique de la personne,
là où il n’y a plus de frontière entre visible et invisible,
là où corps, cœur, âme et esprit se rejoignent.
Comment suis-je arrivée
à la médecine du lien ?
Je ne suis pas née de tout repos : un mental hyperactif, une curiosité insatiable pour une diversité de centres d’intérêts, une difficulté à poser des limites, un besoin de sens aussi vaste que le ciel…. Ce bouillonnement intérieur m’a poussée à chercher, questionner, apprendre, expérimenter, à guérir. Et surtout, à relier. Car le lien est le cœur de mon cœur : comment être en lien sans se perdre ou se faire mal ? Comment dire la vérité sans blesser ? Comment co-créer en restant soi ?
Un contexte professionnel en 2014 a été un point de bascule vers une question existentielle : comment prendre soin de moi et dispenser mon énergie vitale avec justesse ?
La communication non violente et la médiation ont été les premières réponses. Les pratiques comme la méditation, la lithothérapie, le retour à l’écriture – une passion depuis l’enfance – l’astrologie – un art pratiqué avec amour et engagement par Léon, mon grand-père maternel ont rapidement suivi.
Puis quelques rencontres fondatrices et décisives m’ont ensuite insufflé une reconnexion irréversible à ma nature profonde, à ce qui m’anime, me rend vivante, me met en joie.
Ces pratiques ont en commun d’être des “médiateurs”, de créer des ponts entre visible et invisible, passé et présent, corps, âme et esprit, ombre et lumière. Elles sont toutes des formes de médiation, qui appellent à l’harmonisation des différentes parts de nous-même qui n’ont pas toujours les mêmes besoins. La paix avec l’autre commence toujours par la paix en soi.
Mes belles rencontres
→ Loumitéa (ECTQ)
Femme-médecine québécoise, pour les fondements d’un chamanisme transculturel, humaniste et ancré, au cœur d’une spiritualité laique.
→ Cyrille Pellard
Avec la médecine sacrée des huiles d’onction, pour un pont de réconciliation entre mon héritage occidental et une vision plus élargie des enseignements spirituels.
→ Camille Berrer
Pour la constellation familiale, une pratique qui éclaire et répare les dynamiques transgénérationnelles.
→ Sophie Ravier, Pola Von Grut, Holisticaza
3 astrologues pour une lecture du ciel joyeuse, de nature psychologique, philosophique et humaniste.
→ Olivier Blond
Pour le clown-chamanisme, un processus de guérison par le rire et l’auto-dérision qui nous relie à notre capacité d’auto-guérison.
Ma vision
Pourquoi j’aime et j’utilise ces pratiques ?
Parce que toutes ces pratiques sont pour moi une occasion de revenir à la source : le cœur est dans les racines. Nos ancêtres de sang, nos ancêtres de sève, notre essence spirituelle, notre nature profonde : toutes les mémoires qui nous constituent sont dans nos racines et nous y accédons par l’ouverture du cœur.
Parce que je connais leur pouvoir de transformation durable. Parce que je choisis de voir le monde comme un espace où la spiritualité peut se décliner de façon plurielle, dans lequel la différence fait diversité et non séparation. Parce que chaque être est souverain et digne d’amour, avec ses blessures. Et que nous sommes plus vastes que nos expériences. La magie réside dans notre état d’esprit.
Quelle est ma boussole intérieure ?
Celle qui fait médiation en moi. La paix. La joie. La justesse. Et l’accueil. J'ai expérimenté que s’accueillir tel que l’on est, dans toutes ses dimensions— avec ses émotions, ses zones d’ombre, sa lumière — est le premier acte de guérison pour soi. Et que l'accueil de soi favorise l'accueil de l’autre, là où il en est. En se guérissant soi, nous guérissons aussi le lien à tout ce qui nous entoure, et ainsi, nous contribuons à un monde meilleur.
L'amour éclaire ma boussole. Pas celui qui dit oui à tout, celui qui dit un oui et un non, en conscience, juste pour soi. Celui qui permet d'être vrai ; L’ouverture de cœur, avant d'apporter une joie profonde et pérenne, est d’abord un acte de courage, qui peut prendre du temps.
MES MANTRAS
Mes pratiques
A qui s'adressent-elles ?
À toute personne en quête de mieux-être, d’unité, de sens, ou d’ancrage.
Aux personnes face à une épreuve, un conflit, une situation sensible.
À toute personne qui se sent freinée, entravée, bloquée ou même envahie.
Aux personnes qui sont dans la souffrance en raison de douleurs physiques
Que peuvent-elles vous apporter ?
Les pratiques que je transmets ont toutes fait l’objet de formations et d’expérimentation personnelle : elles favorisent le lien à soi, la conscience, la régulation émotionnelle, la pacification intérieure et le soulagement des douleurs, qu’elles soient physiques, psychiques ou émotionnelles. Elles réveillent votre pouvoir personnel, cette ressource intérieure reliée à votre cœur et à votre essence, qui vous permet de vous sentir vivant·e, légitime et libre d’être qui vous êtes vraiment, dans votre rapport à vous même, aux autres et à votre environnement.
